Cancer du côlon, la propolis en action
On connaît les vertus polyvalentes de ce produit de la ruche et la complexité de sa composition chimique. Un de ses composants, l’acide cinnamique, était connu pour ses propriétés antioxydantes et anticancer, mais sur ce dernier point le mécanisme n’était pas entièrement élucidé. Une équipe japonaise a récemment pu mettre en évidence que trois dérivés de l’acide cinnamique ont des effets de stimulation des voies de signalisation internes et externes d’apoptose des cellules cancéreuses : autrement dit, elles encouragent les cellules cancéreuses à s’autodétruire. Ces éléments laissent à penser que la complémentation en propolis a un énorme potentiel de prévention du cancer du côlon ainsi qu’un intérêt en curatif ou en prévention des récidives.
Kumazaki et al., Phytomedecine, vol. 21.