Un régime diminuerait le syndrome des ovaires polykystiques

Les femmes atteintes du syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) souffrent aussi souvent de résistance à l'insuline et de troubles de la fertilité. Des chercheurs canadiens et américains se sont demandé si un régime à faible index glycémique pouvait améliorer leurs symptômes. Après avoir passé en revue la littérature scientifique, leur réponse est affirmative. Avec ce régime, le profil lipidique sanguin de ces femmes s'améliore ; la production d'insuline et leur statut androgénique sont mieux régulés et leur tour de taille s'affine. Les chercheurs recommandent de mener une étude clinique spécifique afin de mesurer l'impact de ce régime sur la fertilité.