Les promesses du phyllante urinaire contre l’hépatite C
Cette petite plante sauvage ressemblant au mimosa, originaire d’Asie mais également présente dans les régions tropicales ou au sud des États-Unis, attire depuis peu l’attention des chercheurs dans la lutte contre l’hépatite C. La rareté et le coût des traitements pour cette pathologie hépatique, qui touche entre 130 et 170 millions de personnes dans le monde, soit près de 3 % de la population, donnent à cette nouvelle recherche in vitro une importance sans doute démesurée à ce stade. Il n’empêche : le loliolide, un terpénoïde présent dans la plante, mais également dans la sauge des devins, a été identifié comme un puissant inhibiteur de plusieurs génotypes du virus de l’hépatite C.
Source : Antiviral Research 130, 2016.
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